Il s’agit probablement de fonts baptismaux néo-romans, produits par des ateliers espagnols, au 19ième et pendant la première moitié du 20ième siècle.
Un importateur belge en a vendu beaucoup durant cette période.
Cette cuve se trouvait peut-être dans la chapelle castrale, pour servir aux besoins des propriétaires.
Ces fonts ne sont pas faits en taillant la pierre naturelle, mais en coulant du mortier dans un moule. Puis la surface était artificiellement vieillie pour suggérer un aspect antique.